one piece : passé de robin (mode libre)

c'est un passé pas évident peut être pour certain a raconté car il est fait de beaucoup de flash et peux de longues scènes descriptives mais justement ça va donner une liberté pour écrire dans ce rpg

les personnages sont :
-nico robin
-nico olvia
-Professeur Clover
-Archéologues
-parents adoptifs
-marine
-autres personnages secondaires...

Un épaisse brume recouvrit la dangereuse et interminable Route de tous les périls. Le climat, comme à son habitude, si imprévisible et changeant. Il passait d'un calme plat, à une pluie déchainée, mais toujours avec cette étrange brume. Dans ce brouillard, sous une pluie frappante et un vent fort, une grande caravelle vogua sur les vagues. Sur le pont de ce bateau, une personne se tenait debout depuis plusieurs heures. Malgré les changements de climats, il ne bougea pas un cil. Il était imperturbable, se tenant sur le devant de son bateau au gré du vent, pensif, seul. Au bout d'un moment d'extrême solitude, un homme sortit de la cabine du bateau. Il avança d'un pas rapide, monta les quelques marches pour se rendre à la proue du Navire. Il s'adressa à la personne immobile.

Homme : - Rentrez dans votre Cabine avec nous, Capitaine ! Cela fait plus de deux heures que vous êtes là, seul, à attendre !
Capitaine : - ... Préparer-vous à débarquer.
Homme : - Mais, Capitaine, aucune île n'est mentionnée dans la carte de cette zone !
Capitaine : - Je ne te demande pas ton avis, préparez-vous à accoster : une île se trouve à environ 20 lieues de notre position actuelle.
Homme : - Bien monsieur.

L'homme retourna dans la cabine pour avertir les hommes d'équipage. Ils étaient prêts à accoster très rapidement. Le Capitaine de l'équipage, qui était resté immobile jusqu'à lors, tourna sa tête. Il annonça à haute voix que personne ne quitte le bâtiment sans son autorisation. Peu après, le brouillard se dissipa. Une île d'une assez grande superficie se dévoila sous les yeux ébahie du navigateur et du cartographe. Le Capitaine positionna le navire de façon à ne pas être découvert par les habitants de l'île. Le Capitaine descendit seul du bateau. Il fit quelques pas, et, peu après, il croisa une fille adossée à un tronc d'arbre. Elle était en train de verser toutes les larmes de son corps. Le Capitaine s'approcha de la petite fille, qui lui semblait familière. Quant la petite fille leva la tête, le Capitaine s'aperçut qu'il avait confondu la petite avec une autre fille. La fillette qui pleurnichait regarda fixement l'Homme, qui lui demanda son nom.
Capitaine : Comment t'appelles-tu, petite ?
Fillette : Ni...Nico Robin, monsieur...

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Un épaisse brume recouvrit la dangereuse et interminable Route de tous les périls. Le climat, comme à son habitude, si imprévisible et changeant. Il passait d'un calme plat, à une pluie déchainée, mais toujours avec cette étrange brume. Dans ce brouillard, sous une pluie frappante et un vent fort, une grande caravelle vogua sur les vagues. Sur le pont de ce bateau, une personne se tenait debout depuis plusieurs heures. Malgré les changements de climats, il ne bougea pas un cil. Il était imperturbable, se tenant sur le devant de son bateau au gré du vent, pensif, seul. Au bout d'un moment d'extrême solitude, un homme sortit de la cabine du bateau. Il avança d'un pas rapide, monta les quelques marches pour se rendre à la proue du Navire. Il s'adressa à la personne immobile.

Homme : - Rentrez dans votre Cabine avec nous, Capitaine ! Cela fait plus de deux heures que vous êtes là, seul, à attendre !
Capitaine : - ... Préparer-vous à débarquer.
Homme : - Mais, Capitaine, aucune île n'est mentionnée dans la carte de cette zone !
Capitaine : - Je ne te demande pas ton avis, préparez-vous à accoster : une île se trouve à environ 20 lieues de notre position actuelle.
Homme : - Bien monsieur.

L'homme retourna dans la cabine pour avertir les hommes d'équipage. Ils étaient prêts à accoster très rapidement. Le Capitaine de l'équipage, qui était resté immobile jusqu'à lors, tourna sa tête. Il annonça à haute voix que personne ne quitte le bâtiment sans son autorisation. Peu après, le brouillard se dissipa. Une île d'une assez grande superficie se dévoila sous les yeux ébahie du navigateur et du cartographe. Le Capitaine positionna le navire de façon à ne pas être découvert par les habitants de l'île. Le Capitaine descendit seul du bateau. Il fit quelques pas, et, peu après, il croisa une fille adossée à un tronc d'arbre. Elle était en train de verser toutes les larmes de son corps. Le Capitaine s'approcha de la petite fille, qui lui semblait familière. Quant la petite fille leva la tête, le Capitaine s'aperçut qu'il avait confondu la petite avec une autre fille. La fillette qui pleurnichait regarda fixement l'Homme, qui lui demanda son nom.
Capitaine : Comment t'appelles-tu, petite ?
Fillette : Ni...Nico Robin, monsieur...

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Capitaine : Mais que fait tu là ?
Nico Robin: ........
Capitaine : Bon c'est pas grave .Vient avec nous.

Nico Robin s'effondra sur le sol

Capitaine: Vite monter la dans ma cabine

A son réveil Nico Robin était allongé dans un lit dans une belle cabine pleine d'ornements.Elle remarqua alors l'Homme qui l'avait receuilli.
Capitaine : Bonjour, comment vas tu ?
Nico Robin : Bien merci beaucoup monsieur....
Capitaine : Tu peux m'appeler John
Nico Robin: Merci John comment vous remercier?

Capitaine (John ... ?) : Ne dis à personne que nous avons accosté ici. Tu ne nous connais pas, tu ne chercheras pas à nous rencontrer, tu ne feras rien pour nous.
Nico Robin : D'a...D'accord, monsieur...
John : Bien. Maintenant, dort.

La petite Robin s'endormit à l'instant même où le Capitaine du navire eu passé sa main sur son visage. A en croire la stupeur des quelques hommes d'équipage qui se tenaient dans la cabine, la perte de connaissance de Nico Robin n'était pas une coïncidence. A travers le bateau, les nouvelles se répandent à une vitesse folle. C'est d'ailleurs ce qui c'est passé quelques minutes après que Nico Robin se soit endormie.
Homme d'équipage : Vous avez vu ?! Ce sont les pouvoirs du Capitaine ! Il les as utilisé sur cette fillette !
Homme d'équipage : Peuh ! Quel lâche ! Elle n'avait pas les moyens de se défendre...

Quelques secondes après que le second homme ai prononcé ces quelques mots, le Capitaine se tenait devant lui. Tout l'équipage était surpris de voir le commandant du navire être présent devant lui, alors que personne ne l'avait vu sortir de sa cabine.

John : As-tu dit quelques chose, toi ?
Homme : Euh... Non, monsieur, non, je n'ai rien dit !!!
John : Es-tu sûr de cela ?

Le Capitaine John dégageait une aura meurtrière. Chacun des hommes d'équipage tremblaient, quel qu'il soit, comme une feuille. Après la réponse négative du matelot, John tourna le dos, marcha calmement sur le pont de la caravelle, et entra dans la cabine. Toutes les personnes qui étaient pétrifiées tombèrent à plat ventre sur le ponton, tous paralysés. John pris la petite endormie dans ses bras, et tel un chevalier, descendit du bateau en la tenant dans ses bras. Il avançait d'un pas assuré, quand, à ce moment là, une détonation retentit derrière lui. Il se retourna, et vit son bateau couler. Il compris très rapidement qu'un coup de canon avait été tiré sur son bateau. Une grande silhouette à peine perceptible se tenait devant l'île, dans la brume. John couru se réfugier à l'intérieur de l'île. Peu après, une grande voile blanche se dévoila. Trois homme étaient postés à l'avant du bateau.

1er Homme : Nous voilà arrivés, mon Colonel.
Colonel : Oui. Remerciez le canonnier d'avoir détruit ce bateau.
2nd Homme : Bien, mon Colonel.
Colonel : J'ai bien fait de choisir cet Homme à pister. Qui aurait cru qu'il nous emmènerait dans l'île ou est née cette charmante scientifique, Nico Olivia !

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